• Difficile de passer une soirée tranquille avec une amie dans un bar. Les Espagnols nous accostent, et pour s'en débarasser, ay madre! Qué duro!

    Et pour eux, la fidélité, ce n'est pas sacré! On a un copain? "Mais c'est pas un problème ça!" Ils ont une copine? "On s'en fiche, elle le saura pas!"

    Voilà les 4 phases d'apprentissage pour repousser les avances d'un Espagnol en soirée.

    1/ INNOCENCE : première expérience, on ne veut pas étaler sa vie privée, donc on se présente en terrain neutre. Erreur fatale!

    Infidèles et libertins

    2/ MEFIANCE : Echaudée par la première expérience, on a appris la leçon. Pas encore suffisamment!

    Infidèles et libertins

    3/ EXPERIENCE : On connait la technique d'approche, on devient aguerri dans l'art d'éviter les prétendants qui souhaitent se retrouver dans notre lit. Mais c'est un très long apprentissage.

    Infidèles et libertins

    Mais jusqu'où iront-ils?

    DEMENCE : La meilleure défense, c'est l'attaque! Les ronds de jambe c'est fini, marre de ménager leur ego, maintenant on fonce dans le tas!

    Infidèles et libertins

    Euh, oui, c'est un peu brutal, mais il faut s'imposer dans la vie!


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  • Et oui, les Espagnols n´hésitent pas à tutoyer les profs, les appeler par leur prénom et parfois à leur exposer leur vie privée. Ça nous laissait la bouche ouverte d'étonnement! Impensable pour des Français...

    Nous, on a eu du mal à s'y faire. Au début avec beaucoup de timidité et de précaution, puis plus librement. Du coup maintenant je tutoie tout le monde, même en France et sans le faire exprès!


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  • Les étudiants espagnols sont beaucoup plus politisés que les étudiants français. Chacun a son opinion et tient à l'exposer, par la force si nécessaire. Et le débat en classe tourne souvent au pugilat, dès le sujet amorcé.

    débat? Combat?

    Chacun se met à crier, hurler, tous à la fois, de sorte qu'il est impossible de discerner ce qui se dit. Parfois, nous françaises, ne réussissont même pas à savoir le sujet du débat.

    Quand on dit que les Espagnols ont le sang chaud, c'est pas faux!


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  • Une de mes passions : cuisiner! Associer les produits, les saveurs, les herbes et les épices. Mais dans mon appartement à Madrid, ça relève du parcours du combattant!

    Le pire, je crois que c'est le four: une antiquité à gaz qui date de Mathusalem, et qui menace de faire exploser l'appartement à tout moment.

    Le "deuxième pire" c'est la place : ma cuisine est minuscule et je n'ai qu'une table riquiqui sur laquelle je ne peux poser qu'une planche à découper et deux tomates.

    C'est vraiment une cuisine de discrimination: pas de place pour les grosses, on ne rentre que si on est maigre. Et même avec deux maigres en même temps, ça ne rentre pas.

    Donc, quand je cuisine, je travaille la souplesse et les réflexes ( pour récupérer ce qui se casse la figure avant que ça ne touche le sol) et mes collocs m'entendent souvent jurer, grogner, râler, en français, en anglais ou en espagnol.

    Il y a tellement peu de place que je suis obligée de battre les oeufs dans la salle de bain, sur la machine à laver...

    Bref, je fais la cuisine.


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  • Certaines personnes ont l'art de se pointer justement quand on n'est pas présentable...

    Ce soir-là, tout y était : le bas de pijama informe, le sweat à capuche dix fois trop grand, les cernes des nuits blanches passées à travailler (et à faire la fête) et la mine blanchâtre. En mode "jerévisebientranquillementdansmonlithabilléecommeunemémèremaisquestcequecest-confortableetpratique"

    Et là, DRIIIIIIIIIIIIIING!

    A l'improviste


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